dimanche 10 janvier 2010

Michel Houellebecq (1994) et Philippe Harel (1999), Extension du domaine de la lutte


Discussion de Extension du domaine de la lutte par Michel Houellebecq (roman, 1994) et Philippe Harel (film, 1999).


Site Michel Houellebecq

Le film sur IMDB

31 commentaires:

  1. Je m’interroge si le mot “dépression” a une autre signification que son équivalent anglais. Je ne suis pas psychologue, mais il me semble que sa « dépression » se manifeste d'une manière un peu bizarre. La masturbation chronique, la tentative de créer un tueur en série, ce ne sont pas des symptômes classiques de la dépression, plutôt la folie. Les digressions fréquentes avec les animaux qui parlent sur des grands thèmes philosophiques ne me semblent pas être les produits d’un cerveau bien réglé non plus. En tout cas, pour un homme se noyant dans la folie, il pense très clairement. Ces arguments sont clairs et bien formulés, malgré son obsession avec les animaux. J’étais aussi un peu surpris par ses efforts de transformer son ami en monstre. Avant ça, il n’a pas donné l’impression d’être sociopathe. Oui, il n’avait pas trop d'amis et il était un peu trop solitaire pour sa santé mentale, mais il éprouvait de l’admiration pour certains de ses collègues, comme son patron, et pour le vieux couple à l’hôpital. Donc, c’est une action peu caractéristique.

    Une question, quel est le nom du protagoniste ? J’ai l’impression qu’il n’était pas mentionné, mais je ne suis pas certain.

    Chris Curtis

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  2. Je pense que l'alcool donne une évasion au personnage principal. Alors, il peut créer ses non-lieux et le résultat est une transe qui se produit quand il s’enivre. Quand il boit de l’alcool il n’a pas beaucoup d’émotions significatives. Et aussi, il n’a pas beaucoup de relations avec les humains. Dans un sens, il est dans une solitude qu’il s’est créée. Peut être que la technologie du vingtième siècle arrête l’aptitude d’un humain d’avoir une relation avec un autre.

    Il va à beaucoup de non-lieux dans le roman. Par exemple, il y a le métro, la gare, et son bureau de travail, et un sens de l’urbanisme parce qu’il habite dans une ville. Il dit : « Des immeubles rectangulaires, où vivent les gens. Violente impression d’identité ». Il n’est pas content de sa vie il dit : « Je connais la vie, j’ai l’habitude ». Il a la même routine tous les jours. Il explique qu’on a une faim pour la vie quand on est un adolescent mais cette faim s’arrête avec la réalité d’être un adulte. Les non-lieux donnent-ils la paix et le temps pour réfléchir ?

    Et parfois il ne peut pas échapper à ses pensées. Ses pensées divaguent au sujet des animaux, des arbres, et des sujets qui n’ont pas d’intérêt. Il prend alors ces sujets et crée des philosophies à lui sur leurs expériences bien qu'ils ne soient pas des êtres humains.

    Lauren Patch

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  3. Un point très intéressant est l’idée de l’ordre de la société. Le narrateur explique qu’il y a vraiment deux systèmes sociaux dans la vie: le système économique et le système sexuel. On peut voir que la manière de sa vie suit cette croyance. Le narrateur travaille pour avoir les moyens de survivre dans un sens économique, et il poursuit les femmes pour satisfaire ses désirs sexuels. Il se moque des chefs d’information à son travail qui veulent trouver le succès financièrement, mais il est complètement obsédé par le succès avec les femmes. En effet, il semble associer le succès des individus à leurs talents sexuels. Par exemple, Il décrit son collègue Tisserand d’un ton condescendant à cause du fait qu’il ne peut pas trouver deu femme.

    Un deuxième point très intéressant consiste de comment le narrateur contribue au succès de l’apparence de chaque individu. Dans chaque circonstance dans sa vie, il analyse les personnes entour de lui pour déterminer leurs positions dans la hiérarchie sociale. Par exemple, les individus comme Schnäbele qui s’habille bien sont perçus par le narrateur comme des êtres supérieurs, au contraire de Tisserand, un individu déterminé par le narrateur comme laid physiquement.

    Liz Downing

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  4. Mes premières questions sont au sujet du titre: Extension du domaine de la lutte. Il parle souvent de lutter mais je me demande quelle est la lutte du protagoniste qui à des tendances suicidaires mais se rattache bizarrement à la vie? Pourquoi l’auteur utilise-t-il le mot “extension”? Fait-il allusion aux non-lieux ou à quelque chose d’autres? Qu’en pensez-vous?

    Une chose est sûre, c’est que le protagoniste est mal dans sa peau. Le psychiatre lui annonce qu’il est à la quête de son identité. Sa fréquentation des non-lieux n’aide pas sa vie sociale ou à l’apaisement de son état psychologique. Il passe son temps dans les hôtels, les moyens de transports, les bars, les discothèques, etc… des endroits impersonnels où il ne reste que temporairement et où il se sent profondément seul.

    De plus, il n’aime pas son travail qui le mène à de nombreux déplacements et déteste tout ce qui touche à l’informatique (le monde des machines). J’ai l’impression qu’il ne trouvera pas de soulagement à sa souffrance malgré son traitement médical. Il est frustré à cause de sa misérable vie sans oublier qu’il l’est aussi sexuellement. Il déshumanise les femmes et les compare à de la viande parce qu’il est incapable d’“aimer”. Il souffre probablement d’une sévère dépression ou peut-être est-il bipolaire…Qui sait? Malgré une certaine souffrance qui le consume, il se plaît dans sa déplorable situation. Ils se demande toujours si les autres sont heureux et aime croire que tout le monde est aussi malheureux que lui.

    J’ai été aussi surprise quand il pousse Tisserand à tuer le couple et à violer la jeune fille. J’ai trouvé la lecture de ce livre un peu désagréable. Le mal-être du protagoniste m’a rendu inconfortable, j’attendais presque qu’il se suicide pour finir mon propre martyr!

    Céline Jacquenod-Garcia

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  5. Je pense que le narrateur habite un « non-lieu ». Il ne semble pas que le narrateur tienne à quelque lieu que ce soit parce que quant à lui, rien ne l’intéresse. Pour citer comme Lauren, le narrateur a dit : « Des immeubles rectangulaires, où vivent les gens. Violente impression d’identité ». On croirait que des immeubles seraient des lieux parce qu’ils ne bougent pas et plutôt il n’y a pas de circulation donc, on ne les appellerait pas normalement un « non-lieu ». De plus, on a dit en classe qu’on peut perdre son identité dans les « non-lieux » dans le roman, le nom du narrateur est pour la plupart un secret.

    Ce qui est plus intéressant n’est pas le manque du nom, mais le manque d’émotion. Tôt dans l’intrigue, il perd sa voiture et n’a aucune idée où elle se trouve mais il ne fait pas d’histoire comme ferait une personne ordinaire (ou du moins un Américain ordinaire). Il s’en est plaint car elle l’en a oublié. Je crois que peut-être cette apathie vient de son divorce avec Véronique qu’il ne mentionne qu’une fois au chapitre trois de la première partie.

    Eric Reels

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  6. Le thème du non-lieu est évident dans la discussion presque constante du mouvement du narrateur et aussi dans la discussion de la futilité qu'il éprouve de la vie. J'ai remarqué que le narrateur ne voit rien avec de l'émotion; il semble être complètement détaché de la vie ("fumer des cigarettes... mon seul projet" 69). Par exemple, quand il est à l'hôpital à Rouen, il dit qu'il "[se] sentais un malade plutôt désagréable" (78), comme s'il se regardait de l'extérieur et comme s'il n'avait pas d'influence ni d'intérêt sur son comportement. Comme Lauren a remarqué, le fait qu'il a "l'habitude" de la vie est évident dans la manière répétitive dont il vit. En ce sens, il donne l'impression d'être conscient de l'absurdité de la vie, mais il n'offre pas d'évidence au lecteur qu'il a trouvé une raison à continuer à vivre. En plus, son obsession avec la mort est intéressante car il ne semble pas vouloir mourir, mais il y réfléchit presque sans effort. L'imagerie du roman rappelle au lecteur la mort, même inexplicablement, comme par exemple de la vie à la page 18 "carcasses d'immeubles," à la page 29 "Moi, les enterrements, je crains un peu" et les images évoquées par "cadavérique" et "mort subite" (73, 74).

    Marjorie Johnson

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  7. Pour moi, le sens des non-lieux est arbitraire. Donc on peut définir les
    « non-lieux » comme on veut. En général, un non-lieu est un endroit qui n’a pas du tout de valeur pour une ou des personnes. Pour moi l’idée de non-lieu vient de la vie du personnage principal et de son point de vue de la vie et précisément de ses expériences. L’idée d’une vie toujours déprimée me donne le visage d’une personne perdue dans le monde. Il n’a pas d’espoirs et de rêves. L’espoir lui manque comme l’avenir qui n’a pas
    d’importance.

    Cela m’a fait penser à une question qui me semble la plus importante pour l’idée des non-lieux, les endroits ou leur symbole. Quelle est l’importance des endroits qu’il visite comme la gare et les bars, des endroits dans lesquels il se perd ? Je pense qu’il est comme « l’ami d’un usage- single Serving friend » du film Fight Club de la scène dans laquelle Ed Norton rencontre Brad Pitt dans l’avion. Tout dans l’avion, le beurre, le jus, le repas tout cela n’est utilisé qu’une fois. Comme l’aéroport, sa vie est un non-lieu. Ce n’est pas que lui qui manque d’identité ce sont aussi ses camarades qui n’ont que peu d’influence sur sa vie. Enfin, il n’est pas plus important pour eux que le serait du beurre.

    Taylor Marge

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  8. Je pense que le narrateur a une vie déplorable. Le narrateur explique que sa vie est habituelle et ordinaire. Il passe beaucoup de temps dans des « non-lieux » comme le métro, travail, et des hôtels. Je pense qu’à cause de ça, sa vie entière est un « non-lieu ».

    Un point intéressant pour moi était le fait qu’il juge chaque personne qu’il rencontre. Il juge les personnes qu’il connaît et celles qu’il ne connaît pas, mais, pour moi il n’a pas le droit de juger quand sa vie est tellement ordinaire. Si j’étais lui, je voudrais changer ma vie et essayer d’être une meilleure personne. Il faut qu’il regarde sa propre vie et juge cela. Parce qu’il ne va pas avoir de bonheur dans sa vie s’il ne change pas.

    Un deuxième point captivant est quand il dit que « Fumer des cigarettes, c’est devenu la seule part de véritable liberté dans mon existence ». Je trouve que c’est bizarre, parce qu’il peut faire ce qu’il veut. Il n’a pas une femme ou une famille, alors pourquoi il fait ce qu’il veut ? Son travail n’est pas important pour lui alors il peut le quitter s’il le veut. Peut-être que s’il quitte son emploi, sa vie « non-lieux » peut être une vie de lieux et personnes importantes.

    Chantal Vitart

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  9. « Extension du domaine de la lutte » par Michel Houellebecq discute la vie solitaire d'un homme de trente ans qui souffre de dépression grave. Ses luttes internes ne sont pas les caractéristiques typiques de la dépression. Il est tourmenté chaque jour, et il s’attarde sur son manque de relations sexuelles. Les autres vices dans sa vie contribuent à ses problèmes.

    Je crois que sa situation est le résultat des choix qu'il fait. Vivre une vie en exil ruinera des connexions et des relations humaines. La conversation et l'interaction avec les membres de la société peuvent aider à créer l'équilibre dans la vie. Vivre seul permet le temps de s’attarder sur les choses négatives de la vie et d’analyser excessivement des événements insignifiants. L'interaction humaine est essentielle pour créer l’équilibre et le bonheur. Sans les relations durables, on dépendra de l'alcool qui peut causer plus de problèmes. Enfin, il est très intéressant que le personnage principal n'a pas de nom dans le texte, révélant sa tourmente interne et ses questions d’identité.

    Jacqueline Canniff

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  10. D’après moi, le roman Extension du domaine de la lutte n’est pas très bon, et je ne l’aimais pas beaucoup. Ce qui m’embêtait le plus, c’était le narrateur. On ne sait pas beaucoup de choses de lui, sauf son travail et les pensées qu’il veut partager avec nous. Quand il parle des autres, il décrit toujours beaucoup de détails, y compris leurs comportements et leurs traites physiques. Néanmoins, on ne sait rien sur lui, et d’après ce dont je me souviens, même pas son nom. Aussi, je n’aime pas son ton négatif et satirique. Il dit toujours des choses négatives sur les autres. Par exemple, Catherine « n’est pas très jolie, » Tisserand est « acnéique » et « incompétent ». Je trouve qu’il était un peu égoïste, et en réalité, il était aussi pathétique que les autres personnes qu’il avait décrites. Il avait dit lui-même que les femmes pensent qu’il est un pis-aller et qu’il n’a pas beaucoup d’amis. En fait, il a promis à son ami qu’il essayerait d’être plus religieux pour rester son ami. Donc, à mon avis, il semble très désespéré, donc il n’a pas de droit de critiquer tout le monde.

    Sur le sujet des non-lieux, peut-être son ton négatif et satirique contribue à l’impression de non-lieux. Par exemple, je pense que c’est à cause de sa rancœur pour tout le monde, qu’il est très isolé. Donc, il a vraiment le sentiment de la solitude, une caractéristique des non-lieux.

    Francesca LeGault

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  11. Ce roman donne une perspective très intéressante d'un homme dans la société qui se sent seul, déprimé, et à mon avis a perdu tout espoir. Au début de l'histoire on nous donne une image de la façon dont il est comme un étranger dans sa recherche identitaire. Il aime analyser tout le monde autour de lui. Le protagoniste a aussi une façon très pessimiste de voir la vie. Il est évident qu'il se sent seul et même s'il a des amis il n'est pas sûr qu’ils soient de vrais amis. Il a choisi de vivre la même routine tout le temps. J’ai trouvé ce personnage principal déprimant avec un manque d'ambition.

    Je pense que le protagoniste donne aussi une bonne représentation de ce qu'est la dépression, ce à quoi elle peut ressembler. Il existe différents niveaux et les façons de composer avec elle. Il est nécessaire de constamment devoir se battre à travers les normes sociales, économiques et professionnelles qui ont été placées sur la société. Il faut parfois mentir pour éviter de dire la vérité et être embarrassé encore une fois. Ces règles sociales peuvent amener une personne à devenir un peu folle. Ce personnage a vraiment atteint ce niveau. Il regarde ses rencontres avec la mort comme si elles n'étaient rien. Il a tellement un bon aperçu des choses autour de lui, mais j’ai l’impression qu’il lui manque la découverte de lui-même.

    Brittany Hedger

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  12. Dans ce roman, le narrateur, à mon avis, commence à accepter sa solitude. Il sait qu’il n’y a pas de lieu qui lui semble normal ou confortable. Chaque lieu ou personne qu’il rencontre n’a pas d’importance dans sa vie. Il déteste son travail. Il n’a pas d’amis. Sa voiture devient la seule chose qui est importante à ses yeux parce qu’il l’a perdue. Je pense que sa voiture devient le symbole de sa solitude. Il veut vraiment trouver sa voiture qui est en effet un non lieu. Comme dit Chris, le mot « dépression » devient important en rapport au narrateur. Mais aussi on peut dire que le narrateur est devenu apathique envers sa vie et les personnes qui sont dans sa vie. Il vit sa vie comme s’il était dans sa voiture sur l’autoroute. Toutes les choses dans la vie passent sur lui. Ca ne le dérange pas. Alors, il vit constamment dans un non lieu. Même les lieux qui sont importants ou qui ont une signification pour tout le monde. Ils ne sont pas importants pour lui. Peut-être l’apathie vient de son enfance et le divorce entre ses parents. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles il est apathique maintenant. Mais, à cause de l’apathie, sa vie est devenue un non lieu plutôt qu’un lieu.

    Caitlin Condrey

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  13. Je pense que Michel Houellebecq a écrit Extension du domaine de la lutte pour une démographie un peu plus âgée que la nôtre dans cette classe. Son ton est très dépressif et il ne donne aucun espoir aux adolescents ou aux jeunes adultes. Dans l'introduction il raconte qu'il avait une vie mais tout ça était dans l'adolescence ou peu après, où on est tout frais sorti de l'école ou de la Fac quand on a toujours de l’espérance pour notre avenir. Au plus on vieillit, la pire devient notre vie. En tant qu’homme nous pouvons seulement attendre avec impatience une vie dominée par le désir sexuel tellement intense qu'il partage des frontière avec la folie.

    Stephan Vaast

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  14. Il me semble que le protagoniste de l'histoire est très antisocial. Il semble que les femmes autour de lui qui essaient d'impressionner. Mais, selon lui elles ne sont pas de son goût, elles sont toutes laides. Tout en vivant dans la dépression, il revient à l’alcool et juge les autres personnages autour de lui et, habituellement il ne semble pas être très aimable. Il semble que depuis qu'il a rompu avec sa petite amie Véronique, il n'a pas eu de relations avec d'autres femmes qui lui ont fait plaisir, l'une des raisons pour laquelle je pense qu'il se trouve dans cette dépression profonde et bizarre.

    Une autre chose que j'ai trouvée très intéressante, c'est pourquoi était-il si méchant avec les femmes autour de lui. Par exemple, Il dit que la fille Catherine est un peu jolie quand elle s'habille, mais ses dents sont pourries et elle a une attitude agressive qu'il ne peut pas accepté. Comme je l'ai déjà mentionné, je le trouvai très critique des autres. Ce sera intéressant de voir comment le protagoniste va combattre cette lutte et cette dépression qu'il combat.

    Mitchell Philogene

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  15. Certaines choses m’ont rendu curieuse. Qu’est que c’est les « ombres chinoises » à la page 6 ? Je ne suis pas sûre du sens de cette expression. Aussi, j’étais désorientée par la « fiction animalière. » Ce que je comprends est que le narrateur compare une vache avec Dieu. Je ne peux pas faire le lien et je pense que j’ai raté quelque chose d’important.

    Je ne peux pas voir la lutte de notre narrateur sauf les parties philosophiques. A mon avis le reste du temps je crois qu’il est plus apathique. Il regarde passivement les actions des gens et il n’agit pas lui-même. Pendant la classe on a appris que la technologie aide à créer l’isolement et en fait, les non lieux aussi. Même si le narrateur est un informaticien, je ne vois pas comment cet emploi contribue à cette idée. Bien que c’est sûr qu’il est isolé, il n’a pas d’amis ou de famille.

    Kathleen Smith

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  16. « Extension du domaine de la lutte » par Michel Houellebecq est l’histoire typique de la personne qui s’enfonce dans une situation où elle n’est pas heureuse. Bien qu’il ait une bonne carrière dans laquelle il gagne beaucoup d’argent, mais il n’est pas toujours satisfait. Le protagoniste dans le livre est un « ...analyste programmeur dans une société de services informatiques. » Probablement Il n’a pas beaucoup de contact avec d’autres humains dans le lieu de travail parce que le travail est sur l’ordinateur. Pendant une grande partie du livre, il parle de sa déconnexion avec les humains dans le monde. Le protagoniste est le héros à travers le livre mais il n'a pas eu de relations sexuelles depuis deux ans ou la séparation avec Veronique.

    Le protagoniste dans le livre et Houellebecq aident à amener les lecteurs dans le thème des non-lieux parce qu’il se sent perdu dans le monde. Je me sens mal pour le protagoniste parce qu’il est très perdu, et beaucoup de gens qu’il connaît ne sont pas perdus comme lui. Malheureusement, dans le roman, il dit « Je suis seul, beaucoup trop seul. » Je me suis posé beaucoup de questions pendant ma lecture. Pourquoi le protagoniste se rend mentalement malade sur son manque de contact humain autant avant d’aller à l’hôpital ? Pourquoi il n’est pas satisfait d’une vie normale comme beaucoup de personnes ? Pourquoi aime-t-il rester seul dans sa maison ? Dans le roman, le protagoniste reçoit beaucoup de conseils et d’aide de la part des autres, pourquoi est-il seulement heureux dans sa solitude ? Eventuellement, j’étais pour le protagoniste, parce qu’il trouve le bonheur à fin du livre.

    Heather Puckey

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  17. Quand j'ai vu le film Extension du domaine de la lutte, la première chose que j'ai remarquée, c'est qu'il y avait 2 voix qui racontaient l'histoire. La première voix était à la première personne et la deuxième voix était à la troisième personne et faisait référence au protagoniste avec le nom « notre héros ». Nous savons déjà, grâce au roman, qu'il n'a pas de vie sociale.

    D'autres choses que j'ai observées et qui m'ont donné une meilleure perspective du personnage est qu'il était vraiment très timide, et qu’il n'avait pas de courage. Il semble qu'il n'avait aucun désir de parler à qui que ce soit. Je remarque alors quand il parle que ses yeux sont baissés et qu’il lui manquait beaucoup de confiance.

    Une autre observation a été la raison pour laquelle Tisserand et le protagoniste étaient amis, l'un des narrateurs a dit qu'ils étaient amis parce qu'ils étaient à la fois peu profonds et ils ne pouvaient pas surpasser l'un ou l'autre quand il s’agissait de séduire les femmes.

    Qui pense que c'est pour cette raison seulement que Tisserand et le protagoniste étaient amis ?

    Mitchell Philogene

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  18. Un aspect que je trouve intéressant est la bande originale de ce film. Je crois que la musique correspond aux moments quand le protagoniste se sent seul, et les moments quand il regarde les femmes avec un certain air de désir et la de haine des femmes. La musique correspond aux scènes suivantes :

    • Le supermarché au début du film
    • Le restaurant avec son seul ami qui l’encourage à trouver Dieu
    • La gare où il prend le train de Paris à Rouen
    • La boite de nuit (La Bohème) quand lui et Tisserand n’ont pas de succès avec les femmes
    • Le supermarché avec le service d’aide médicale d’urgence
    • La plage où le protagoniste trouve le préservatif dans le sable
    • La voiture dans laquelle le protagoniste et Tisserand attendent avant d’aller en boite de nuit (la nuit quand le protagoniste développe son projet d’encourager Tisserand à tuer le jeune couple sur la plage)
    • La classe de danse à la fin du film

    C’est évident, donc, que la musique correspond bien aux moments quand le protagoniste se sent le plus vulnérable dans sa solitude. Il y a aussi la présence de sa frustration sexuelle, et ces moments exemplifient la lutte de sa vie qui contribue au déclin de sa clarté mentale. Je suis impressionnée par l’effort du réalisateur de ce film et son inclusion de ces petits détails.

    Liz Downing

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  19. Tisserand est un personnage important car le protagoniste se retrouve probablement dans son ‘ami’. Il souffre tous les deux de solitude et n’ont pas de succès avec les femmes. Pour répondre à la question de Mitchell, je pense aussi qu’ils étaient amis car ils vivaient une vie solitaire et monotone. Après tout, on se sent moins misérable dans quand on est deux ! La vie du personnage principal dégénère quand Tisserand décède. Est-ce que c’était un accident ou un suicide? Après la mort de son ami, il est certain que son état mental se détériore davantage.

    Il blâme la société pour sa solitude mais il ne fait rien pour lier d’amitié avec ses collègues et apparemment il n’a aucun lien avec les membres de sa famille (si il en a une !). Sa solitude se ressent grandement quand il ne reçoit que la visite de Tisserand de son séjour à l’hôpital.

    Le film est une adaptation très proche de ce que l’on peut lire dans le bouquin à l’exception de la fin. Pour ce qui concerne le film, j’ai l’impression qu’il y une lueur d’espoir dans les yeux du personnage principal quand il danse avec la femme contrairement à la fin du livre. La lutte pour son intégration dans le ‘système social’ continue…

    Céline JG

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  20. J'ai trouvé le film Expression du domaine de la lutte beaucoup plus amusant que le livre. L'aspect comique du film me semblait jouer un rôle très important, tandis que le livre avait un ton plutôt sombre. L'aspect visuel rend évident le fait que la vie du protagoniste, notre héros, est très absurde, mais au lieu de commenter sur la nature sérieuse et déprimante de l'absurdité, le film s'en moque. Par exemple, quand le protagoniste convainc son collègue de tuer l'homme de la discothèque afin de violer son amante, ce qui est un projet absurde, voire fou, il le présente comme un programme tout à fait raisonnable et logique. Le contraste entre son attitude normale envers la situation et l'idée des spectateurs que c'est un dessein bizarre contribue à l'humeur du film. Par contre, le ton sérieux du livre se conforme plus à la réaction des spectateurs ; le livre donne l'impression que le narrateur est psychologiquement perturbé pendant cet épisode et ne s'en moque pas autant.

    Marjorie Johnson

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  21. Comme Marjorie, je pense que le film était plus intéressant que le roman. Le personnage dans le roman pense à beaucoup de choses et il ressent plusieurs sentiments de sa vie. Parfois, ça peut être difficile à montrer dans un film. Cependant, l’acteur montre les problèmes du personnage et ses sentiments envers la vie. Et en même temps, le film se moque du personnage comme Marjorie l’a écrit. Mais, on peut sentir plus de compassion pour le personnage que dans le roman. Peut-être c’est parce qu’on peut voir qu’il affronte de vrais problèmes et qu’il est très troublé dans sa vie. Quand on lit le roman, on peut penser qu’il n’a pas de problèmes et de difficultés dans sa vie. Mais à cause de plusieurs situations que le film montre on peut comprendre que « notre héros » doit faire face à une apathie et une dépression réaliste. Je pense que l’histoire que Houellebecq présente est une histoire qu’on a besoin de regarder dans un film. Le personnage (qui était exactement comme j’ai pensé qu’il serait) est important pour aider à réaliser les problèmes auxquels « notre héros » doit faire face. Si on lisait le roman et on ne regardait pas le film, il serait très difficile de comprendre la vie du personnage et aussi les personnages qui deviennent importants dans le comportement du personnage. Alors, le film est plus intéressant parce qu’il nous aide à mieux comprendre la vie de « notre héros » et il nous permet d’être plus compatissant envers ses problèmes.

    Caitlin Condrey

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  22. Comme les autres étudiants dans notre classe, j'ai trouvé le film,
    « Extension du domaine de la lutte », plus agréable et comique que le roman, qui évoquait un ton très pessimiste. Il est intéressant de regarder l’apparence de « notre héro » et d’observer ses interactions bizarres avec d'autres. Aussi, je peux voir sa déconnexion de la société et des relations normales. « Notre héro » ne peut pas maintenir une conversation normale au niveau personnel ou professionnel. Il pense constamment et juge tout ce qu’il voit autour de lui, mais il partage rarement ces pensées. « Notre héro » a des interactions irrégulières avec son seul « ami » Tisserand, ce qui rend le film plus divertissant. Tisserand a ses propres problèmes avec ses relations et ses interactions sociales. Heureusement, j’ai souvent ri pendant le film à cause des actions et conversations très étranges. Cependant, j’ai trouvé le manque de conversation pendant le film énervant, mais en même temps, c’était nécessaire pour l’intrigue. En général, je suis heureuse d’avoir regardé le film, et je peux recevoir une autre perspective du roman.

    Jacqueline Canniff

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  23. Je pense que le film est plus amusant que le roman parce que le personnage principal a des émotions très exagérées et c’est plus facile pour les spectateurs de voir les aspects physiques de sa vie. Par exemple, les aspects physiques de sa vie: On peut voir où il habite et travaille et la musique très dramatique qu’il écoute quand il fait les choses très normales. Aussi, dans le film les vêtements sont utilisés pour voir la différence entre le personnage principale et Tisserand. Le personnage principal porte des vêtements très simples de couleurs très barbantes, par exemple gris, noirs, blancs, et bleus. Mais Tisserant porte des vêtements et des couleurs très vives par exemple le rose et le jaune. Ce choix dans le film symbolise que le personnage principal est très pessimiste et Tisserand est très optimiste. Aussi, il y a une scène où le personnage principal voit la fenêtre d’un magasin qui s’appelle « Produits de Beauté ». Cette scène renforce sa philosophie de la hiérarchie sexuelle dans sa société. Mais, il fait partie de cette hiérarchie parce qu’il veut une femme parfaite et très belle. Mais, à la fin du film il est content dans une classe de danse avec une femme qui est plus grande que lui. C’est très ironique.

    Lauren Patch

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  24. Je pense que c’est intéressant que le film et le roman ont commencé avec une soirée. C’est une action sociale assez normale très différente des autres actions sociales dans le reste du roman et du film. Les scènes suivantes sont antisociales : lorsque le personnage principale réfléchit au sujet de sa voiture et les pensées des autres personnes. Il a oublié où se trouve sa voiture donc de son point de vue c’est mieux de dire que quelqu’un l’a volée. Il réfléchit tout le temps à sa personne par rapport à son rôle dans la société. La société a eu une grande influence sur ses actions. On en trouve un bel exemple quand il va au magasin pour acheter un lit. Il doit acheter un grand lit pour faire croire qu’il a des femmes dans sa vie. Les femmes ont eu une grande influence sur le narrateur et Tisserand. Le seul désir de Tisserand était d’avoir des relations sexuelles avec une belle femme. Il n’avait aucune chance parce qu’aucune femme ne s’intéressait à lui. Les deux n’ont pas d’autres amis donc quand Tisserand meurt on peut voir les vraies actions émotionnelles du narrateur. Sa première action émotionnelle d’une situation sociale qui n’était pas un problème interne ou sexuel.

    Taylor Marge

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  25. Le film, Extension du domaine de la lutte, était très bizarre. Pour moi, c'était très différent du livre. Le film avait beaucoup de thèmes de la vie de la personne qui est un alcoolique et qui est déprimé. Le film a commencé avec le premier personnage du film, ou « notre héros », le protagoniste du film. A mon avis, les personnages dans le film étaient exactement comme les personnages dans le livre. Par exemple, Raphael Tisserand était obsédé par le sexe, très pessimiste, et il s’intéressait aux règles de la société et aux règles sociologiques. Aussi, le narrateur/protagoniste était obsédé par la beauté physique et ce qu’il était. Le style du film était très simple, et facile de montrer plusieurs de citations que j'ai trouvées très intéressantes. Je pense que c'était intéressant quand le narrateur a fait beaucoup de citations sur la vie et les gens dans la société. Par exemple, il dit : « les gens que je rencontre étaient les mêmes dans leur opinion, et dans leurs attitudes. » Il dit : « les voies différentes, pour une vie différente. » Il voulait dire que les gens se créent des vies différentes avec des activités différentes. Aussi, Il y a une partie du film où le narrateur a mangé avec un ami qui est un prêtre. Sa conversation le prêtre était très considérable parce qu'il parle de la société et des obsessions de la société avec le sexe. Il dit que des gens s’ennuient de la vie, et nous avons besoin d’aventure pour nous rappeler que nous sommes vivants. Je pense que c'était considérable parce qu’à la fin du film, le narrateur a essayé de convaincre Tisserand d’essayer de tuer deux gens parce qu'il s'ennuie de sa propre vie. Je pense que c'était un moment important du film parce que le narrateur s’est moqué du prêtre mais pourtant c’est lui qui avait raison.

    Heather Puckey

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  26. Quand je lis un livre et qu’après je regarde l’adaptation cinématographique, presque tout le temps, j’aime mieux le livre. Mais, comme les autres étudiants, j’ai aimé le film Extension du domaine de la lutte plus que le livre parce c’était plus amusant. J’étais vraiment triste pour le personnage principal mais en même temps, les rapports entre lui et Tisserand étaient comiques. Le pauvre Tisserand était toujours rejeté par les femmes, et en premier le narrateur rigole mais après je pense qu’il s'apitoyait pour Tisserand.

    Quand j'ai vu le film, j’ai été triste pour le personnage principal. J’ai pensé en premier que le narrateur avait une crise de la quarantaine, mais quand j’ai vu les particularités de l’homme, les yeux baissés, épaules basses, à pas lents, j’ai identifié qu’il était malheureux pour toute sa vie d’adulte, plus que le livre ne le dit.

    J’aime que le metteur en scène a donné deux voix pour raconter l’histoire du narrateur. Mais la seule chose que j’ai souhaitée pour le film ou roman est un nom pour le narrateur. Je pense qu’il n’a de nom parce qu’il habite dans des non-lieux alors ce n’est pas important qu’il ait un nom. Mais pour moi c’était important qu’il en ait un.

    Chantal Vitart

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  27. La fin du film m’a semblé très faible. Jusqu'aux dernières minutes, le film a suivi très fidèlement l’histoire du livre, mais à ce point tout tombe en panne, la faute à ce qu’il me semble être un manque de courage impardonnable de la part du réalisateur. Le désespoir est l’un des thèmes centraux du livre. Avec une fin à la « Hollywood, » le message de l’histoire est complètement corrompu. Ce n’est pas du tout la même histoire. C’est comme si Hamlet avait survécu jusqu’à la fin de sa pièce en déprimant et puis que finalement il continue à vivre. C’est le duel tragique qui donne à la pièce toute sa puissance, et c’est la même idée avec Extension du Domaine de la Lutte. La note d’espoir à la fin du film nie le reste de l’histoire. De plus, la fin n’est pas logique. Il n’y a aucune raison pour laquelle le héros irait à un cours de danse ; son séjour à l’asile n’a pas donné l’impression d’être trop utile, et il n’avait pas fait de progrès avec la psychologue. C’est possible que j’aie manqué de remarquer un point important et que la scène finale fût en réalité un rêve.

    Chris Curtis

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  28. J’ai vraiment aimé le film Extension du domaine de la lutte, je suis un fan de l'humour noir donc je l’ai trouvé très amusant. C'était plus sympa que le livre et bien plus interactif. On n’avait pas besoin de lire plein de details entre les différents événements qui se déchainent au fur et à mesure.

    Une chose que j’ai trouvée intéressante c'est la narration du film avec des voix différentes: une bien sûr à la première personne était celle de «notre héros» comme l'appelle le deuxième narrateur omniscient qui avait une voix différente.

    Ce type de narration a bien aidé à distinguer les deux narrateurs. Quand je lisais le livre, j’avais du mal à les distinguer, surtout quand le protagoniste revisitait les événements dans sa tête.

    La partie du film que j’ai le plus aimée c'est sa dernière séance avec la
    Femme psychiatre. J’ai beaucoup aimé tout ce que notre héros a dit et j’ai même trouvé ses arguments très intellectuels et dignes d’un philosophe. Je pensais que peut-être elle allait tomber amoureuse de lui mais ça ne pouvait pas marcher dans un monde décrit par Michel Houellebecq.

    Stephan Vaast

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  29. D’après moi, j’ai trouvé que le style du film « Extension du domaine de la lutte » était très différent du livre. La première chose à laquelle j’ai fait attention était les narrateurs. J’ai trouvé que dans le roman, c’était moins clair qu’il y avait deux narrateurs. Je pensais qu’il n’y avait qu’un narrateur. Quelquefois, il a utilisé « je » mais aussi, il a utilisé « il ». Donc, je pensais que c’était la même personne, mais il parlait de lui-même mais aussi des autres. Néanmoins, dans le film, au début, c’était clair qu’il y avait deux narrateurs. Par exemple, la première phrase dans le livre dit « Vendredi soir, j’étais invité à une soirée… » (pp. 5) Mais dans le film, la première phrase est « Vendredi soir, notre héros était invité … ». Et pendant tout le film, on avait toujours dit « notre héros ».

    Une autre différence que j’ai trouvée est que le style du film était plus comique. Je pensais que le livre était très sérieux. Mais je pense qu’à cause du changement de « je » en « notre héros » le « héros » semblait plus comique. Aussi, la musique a contribué au nouveau style. La musique était très légère, pas trop sérieuse. Donc, d’après moi, le film était plus agréable à cause de son style.

    Francesca LeGault

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  30. A mon avis, le film démontre le concept de « non-lieu ». «Le Héros » vit dans un appartement et il travaille dans un bureau, mais il n’est pas connecté à ces espaces. Il fait seulement son travail et il ne parle pas beaucoup aux autres. Quand il va chez lui, il mange tout seul. A cause de son manque de contact avec les autres, il devient un pessimiste. Il n’aime pas sa vie et il a l’air de ne pas comprendre son rôle dans la vie. Par-dessus tout, il déteste le fait qu’il n’a pas de relations sexuelles. Il analyse trop sa décision d’acheter un lit simple parce qu’il pense que le lit simple symbolisera son manque de relations sexuelles. Il préfère dormir sur un canapé-lit. Aussi, c’est intéressant que Raphael admire Le Héros bien qu’il n’ait pas eu de contact avec des femmes depuis longtemps.

    Syda Keo

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  31. Je trouve que les personnages étaient bien joués. Le premier moment que j'ai vu l'acteur qui jouait le personnage pricipal, je savais que les acteurs avaient bien été choisis. Toutes ses manières, son attitude, sa personnalité étaient parfaits. Je pouvais reconnaître tous les autres personnages très vite. J'ai trouvé que le film était aussi déprimant que le livre. Chaque scène a contribué à une atmosphère morbide.

    Kathleen Smith

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