dimanche 10 janvier 2010

Fabrice Cazeneuve, De gré ou de force (1998)


Discussion de De gré ou de force (1998) par Fabrice Cazeneuve.


Le film sur IMDB

17 commentaires:

  1. Jalabier me fait pitié avec sa photo d’enfant sur son bureau et parait être très solitaire. Sa visite chez le dermatologue, nous révèle que son travail lui provoque des irritations. On lui conseille même de changer de métier. Je me demande s’il aime virer les gens et pourquoi il collectionne et expose leurs portraits dans son appartement? Est-ce pour moins se sentir seul ou est-ce pour se rappeler que ce sont les seules personnes avec qui il a des contacts ?

    Jalabier essaie de trouver les points faibles des employés de Medic-Hall pour qu’ils quittent l’entreprise de leur plein gré. Cet homme leur fait du chantage psychologique, émotionnel, et financier. Il est cruel car il n’hésite pas à les mener au bout du rouleau sans remord. Il les intimide, les isole, les dégrade, et pousse même une des employés à la crise de nerfs. Jalabier est sans cœur !

    Le développement du personnage du comptable est intéressant. Au début, il se soumet aux exigences de Jalabier mais, vers la fin, il décide d’étudier les règles du travail pour les utiliser à son avantage. Il gagne de l’assurance et finit par se rebeller. Le dénouement est amusant car nous avons un cas de ‘l’arroseur arrosé’ puisque Jalabier se fait virer et le comptable reçoit ses indemnités de licenciement.

    Céline JG

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  2. Dans le film De gré ou de force, j’ai noté le manque d’identité qui a contribué au non-lieu. Pour illustrer, il y avait une scène ou le chef était dans son bureau, et il y avait des photos innombrables des travailleurs. Mais il n’a vraiment pas vu l’identité de chaque individu, il n’a vu que la masse des travailleurs ensemble, comme une totalité. Une autre scène qui montre le manque d’identité est la scène où on voit la photo d’environ dix travailleurs, et les visages de quelques travailleurs étaient découpés. Donc, la photo était symbolique des travailleurs sans identité. Ils étaient là pour travailler, et c’était tout.

    Un autre exemple dans le film qui a contribué à la création du non-lieu était le bureau où tout le monde travaillait. Par exemple, le bureau n’avait pas beaucoup de couleurs. C’était un environnement très foncé qui a émis un sentiment de morosité et de solitude. Même quelquefois, le chef a isolé les travailleurs dans un petit bureau tout seul. Mais aussi, au sujet des couleurs du bureau, est-ce qu’il y a quelqu’un d’autre qui a noté qu’il y avait beaucoup de bleu royal et rouge ? Spécifiquement, dans le bureau où il n’y avait pas beaucoup de couleur, souvent on a vu des trucs comme des livres, des portes, ou des cravates bleu ou rouge. Je me demandais s’ils étaient symboliques de quelque chose ou si j’allais trop loin dans l’interprétation ?

    Francesca LeGault

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  3. Je pense que l'homme qui travaille pour la société et à qui on donne la tâche de renvoyer les gens a une personnalité très frénétique. Son sanctuaire est étrange dans sa maison où tous les gens qu'il a renvoyé sont inscrits sur un papier avec une photo. C’est un reflet étrange de sa personnalité. Il semble avoir aussi certaines habitudes étranges comme le grattement de son épaule qui s'avère être une condition de peau provoquant des rendez-vous chez le médecin. Son corps en dehors et apparence physique révèlent des émotions que les actions ne montrent pas. Je pense qu'il sait l'effet que ses actions ont sur les autres gens et son corps lui rappelle les conséquences de ses actions.

    Il regarde chaque personne qu'il renvoie sur un morceau de papier, un type de non-lieux. Il n'a pas de lien émotif avec les gens qu’il renvoie et parce que les morceaux de papier ne sont pas vivants, c’est plus facile de ne pas avoir de lien avec les gens. L'autre homme dans le film qui est un père est un exemple d’une personne qui va dans des non lieux tous les jours. Dans le film il prend le métro où il réfléchit à propos de son travail et alors après ça il va à son travail qui est aussi un non-lieu. Les conditions de travail jouent aussi un rôle dans la création d’un environnement de non-lieux dans le bureau parce que les conditions sont très sombres dans un sous-sol en ciment. Le nouvel espace de travail ressemble à un hôpital psychiatrique et les travailleurs sont les patients.

    Lauren Patch

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  4. Dans le film, j'étais très intéressée par le développement du personnage principal, le comptable. Au début, je me suis sentie mal pour lui parce qu'il était en plein milieu d'une séparation avec sa femme et il essayait de prêter autant d'attention que possible à ses enfants pour qu'il ne leur fasse pas de mal. Mais son travail l'empêche d'aller au match de foot de son fils, et le fils est très fâché qu'il n'y soit pas. Ainsi, Jalabier était très efficace à provoquer la démission du comptable, parce qu'il a identifié l’un de ses points sensibles. Je me demandais si Jalabier était au courant de la situation familiale du comptable ou s'il s'est servi de la réaction du comptable pour lui assigner le pire devoir possible sans savoir son histoire. Malgré les efforts de Jalabier à empirer la vie du comptable, il ne réussit pas à le persuader pour le pousser à démissionner. Je crois que le comptable a mis la priorité au bien-être de ses enfants au-dessus de son confort au travail (par contraste avec la femme qui a eu une dépression nerveuse et ne pouvait plus rien supporter) et il a persisté pour eux. Bien qu'il soit enfin viré, l'effort qu'il a mis pour garder son travail est louable.

    Marjorie Johnson

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  5. J'ai pensé que ce film était très difficile à comprendre à cause de la mauvaise qualité du son. Le magnétoscope a rendu le dialogue incompréhensible pour moi. Je ne pouvais comprendre qu’un ou deux mots par phrase. Ce que je pouvais comprendre est qu’il y a une société qui a employé un “spécialiste” pour renvoyer quelques employés. Je trouve que ce personnage est particulièrement sinistre en dehors de la nature de cet emploi. Les scènes avec les boites pleines de photos des employés passés exposés comme des insectes étaient quelque chose qui donne la chair de poule. Les non-lieux que j'ai notés était le bureau pour la plupart du temps. Quand les employés n’avaient plus rien à faire, le bureau était comme un vide. J'ai pu voir que le stress a rendu le jeune père un peu instable mais j'étais heureuse de découvrir qu’il a retrouvé un nouvel emploi à la fin de ce film. Je me demande si la maladie du “spécialiste” était quelque chose qui le rendait méchant ou s’il était méchant de nature.

    Kathleen Smith

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  6. Mon opinion de la question posée par Céline c’est que Jalabier a gardées les photos pour moins se sentir seul. Il n’y a personne dans sa vie. Ce serait intéressent si la photo sur son bureau était vraiment de lui quand il était jeune. Dire encore qu’il est la seule personne dans sa propre vie. J’aime bien aussi le point de vue de Céline « Jalabier est sans cœur! ». Je ne pense pas que c’est possible pour une personne normale d’avoir son job. Son job est réservé pour les individus sans cœur. J’aime bien aussi le point de vue de Francesca « Donc, la photo était symbolique des travailleurs sans identité. » Je pense que le film est rempli de scènes dans lesquelles les travailleurs sont sans identité. Les emplois sont aussi importants que les choses qu’on peut trouver dans le sous-sol. Je ne pense pas qu’au début du film ils ont utilisé les noms des travailleurs jusqu’à ce qu’ils commencent à quitter leur job. Le réalisateur ne fait pas un fort lien personnel entre les personnages. Le but précis de ce film est que les employés ne sont pas aussi importants que l’entreprise.

    Taylor Marge

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  7. Le film « De gré ou de force » est une représentation très intéressante d’un homme qui peut manipuler les vies d'autres au point d’autodénigrement. Cet homme, qui s’appelle Sébastien Jalabier, choisit neuf personnes qui doivent travailler pour lui dans un petit bureau sans fenêtres, murs colorés ou n'importe quelle autre forme de confort. Son objectif est de pousser horriblement les limites de ses employés. Les neuf travailleurs sont assujettis à l’humiliation extrême par Jalabier. Jalabier ne regarde pas ses employés comme des humains. Plutôt, il les regarde comme des travailleurs sans intelligence qui peuvent être harassés dans leur environnement de travail. Jalabier aime les torturer. L'environnement est dangereux, et il n'aide pas au développement professionnel.

    Je trouve très étrange que les employés de Jalabier continuent à travailler pour un homme avec des méthodes de travail contraires au code professionnel. Je pense que ses employés ne devraient pas avoir un sens de responsabilité envers lui. Je ne travaillerais jamais dans un lieu où je suis harassée et humiliée. Cet environnement peut causer beaucoup de problèmes psychologiques. Pour Jalabier, ces travailleurs sont simplement un autre visage sur le mur.

    Jacqueline Canniff

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  8. Le film de Gré ou de Force comme Kathleen a dit, était vraiment difficile pour moi à comprendre. La mauvaise qualité du son m’a donné du fil à retordre. Mais de ce que j’ai pu comprendre, ce sont les non-lieux qui m’ont le plus marquée dans le film. Le bureau était un grand non-lieu pour les employés, c’était gris, silencieux, et ennuyeux. Pour chaque employé la pendule donnait aussi bien de l’espoir que du désespoir. Je pense que le père dans le film habite également dans un non-lieu. Quand il se déplaçait en train, quand il regardait la télévision tout seul, et dans le bureau, il était toujours dans un non-lieu. Le seul moment où il était heureux et dan un « lieu » était avec ses enfants. Mais son chef a toujours essayé d’abîmer ça.

    Mais pour Jalabier je pense que le non-lieu du bureau le rend heureux. Je pense que sa vie en dehors du bureau était vraiment malheureuse alors dans les bureaux, quand il se débarrassait des employés, ça lui donnait du bonheur.

    Une autre partie du film que j’ai trouvée triste était la photo des employés. Quand la femme a commencé à découper les têtes des gens du bureau j’ai trouvé ça amusant. Mais quand le père était la dernière personne sur la photo, j’étais triste pour lui.

    Chantal Vitart

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  9. J'ai trouvé que le lieu du travail lui-même était un non-lieu parce que c'était dans le sous-sol de la société et normalement, on utilise les sous-sols seulement pour ranger des choses dont on n'a pas besoin immédiatement. Pour la plupart on peut dire que c'est un lieu qui n'existe pas du tout parce que normalement, rien ne s'y passe. De plus, il ne semblait pas que les employés étaient attachés au lieu.

    La cinématographie m'a donné un sens de détachement parce qu'il me semblait que les scènes n'étaient pas fluides et ne coulaient pas bien, surtout entre les scènes de travail et les scènes à la maison. Cela m'a donné l'impression des sentiments des employés qui vivaient, chaque jour, une vie monotone. On est au travail ou à la maison.

    Eric Reels

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  10. J’ai remarqué que le père dans le bureau et son travail se reflètent dans les vies de ses enfants. Aussi, je crois que les gens du bureau ont les mêmes expériences avec leur patron comme les enfants avec leur père appliqué. Quand le fils de Vincent est expulsé dans le match de foot, il me rappelait les employés qui restent assis à ne rien faire, en regardant les autres dans le même immeuble. Les méthodes d’un patron comme Jalabier ne sont pas très différentes de celles utilisées par le père, (il s’appelle Vincent je crois). Quand les enfants de Vincent se tiennent mal, ou même quand les travailleurs se conduisent mal, le père ou le patron ont quelquefois réagi avec méchanceté et quelquefois avec compassion. La campagne de Jalabier contre ses travailleurs utilise l’intimidation, et l’avilissement moral, pour la plupart ; Jalabier n’a pas fermé les yeux sur les activités des employés mais ils les ignorent de la perspective de leurs difficultés dans le privé. Tous les personnages ont des challenges à relever. Comme les petits problèmes des travailleurs n’inquiètent pas le patron, les disputes de ses enfants n’inquiètent pas Vincent jusqu’à ce qu’elles le dérangent. Finalement, c’étaient des difficultés minuscules, pas liées au bureau qui ont détruit la détermination des employés.

    Kenneth Chappell

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  11. Le réalisateur du film a créé ici un très bon exemple du non-lieu. Des salles vides et sombres où on attend la fin du travail pour la journée sans faire autre chose qu’attendre. J’ai trouvé cette situation un peu déprimante mais aussi très drôle, pour la plupart parce que cela rappelle plusieurs de mes emplois. C’est beaucoup moins sévère, mais j’ai travaillé dans quelques bureaux, et chaque fois j’ai fini par passer la plupart de ma journée en regardant un mur, faute de travail à faire, ou en accomplissant des tâches inutiles. En tout cas, c’était une vision plutôt désagréable de la vie professionnelle Il m’a fait penser aussi aux suicides dans l’entreprise française France Telecom. Pendant que j’étais en France le semestre dernier j’ai entendu des nouvelles au sujet de trois ou quatre salariés de cette entreprise qui se sont suicidés, pour un grand total de trente-cinq durant une période de deux ans. Le monde des affaires, au moins pour les salariés, est peut-être plus difficile en France qu’ici. En tout cas, j’espère que oui. Plutôt eux que moi.

    Chris Curtis

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  12. Je trouve ce film fascinant à l’égard du sujet. Le point principal du film apparaît d’exemplifier le coté négatif du commerce, et comment les décisions économiques touchent les vies personnelles des salariés. La manière avec laquelle la direction est représentée pendant le film donne l’impression que le producteur n’aime pas les entreprises. Par exemple, tous les membres de la direction s’habillent en gris ou noir, donc ils donnent l’impression de ne pas avoir de cœurs. Un deuxième aspect négatif du film est l’homme responsable de licencier des salariés. Il fait collection des photos de toutes les personnes qui quittent leur travail sous sa direction. Cette action est troublante, et il semble faire collection des trophées de son travail « dur » ; le même travail qui élimine les salariés honnêtes de leur emploi.

    Même si je ne suis pas d’accord avec la croyance comme quoi toutes les entreprises sont violentes, je comprends qu’il y existe des événements négatifs qui arrivent aux salariés du monde entier. Je préfère regarder les entreprises et l’industrie économique d’une manière positive, mais je sais que c’est nécessaire d’exagérer le point de ce film pour prendre une position définitive.

    Liz Downing

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  13. Le titre du film « De Gré ou de Force » est parfait pour l’intrigue. Les employés travaillent dans une mauvaise condition. Le patron est très méchant et il ne se sent pas concerné par le sujet de la situation des employés. Il veut seulement qu’ils travaillent pour lui. Eventuellement, les employés quittent leur travail un par un, soit par gré ou soit par la force.

    Quand on compare ce film avec le film « Ressources Humaines, » il y a une grande différence. Dans « Ressources Humaines, » les gens se sont battus pour leurs droits. Ils n’ont pas voulu travailler pour trente cinq heures seulement et aussi, ils n’ont pas aimé la discrimination contre les personnes qui sont plus âgées. Les employés sont allés contre les patrons et ils ont refusé de travailler jusqu’à ce que la situation soit à leur avantage. Dans le film «De Gré ou de Force, » les employés ont dû travailler parce qu’ils avaient beaucoup de problèmes dans leur vies privées. Ils ont eu besoin d’argent pour soulager leurs difficultés. Même si le patron était cruel et sans cœur, les employés ne se sont pas battus pour leurs droits. Ils ont enduré l’environnement autant que possible. Quand ils n’ont plus pu endurer la cruauté, les employés ont quitté leur poste sans une dispute, sauf le jeune homme. A cause de sa lutte, il a finalement obtenu gain de cause.

    Syda Keo

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  14. J’ai trouvé le film assez difficile à comprendre à cause du son mais aussi parce que l'intrigue était un peu compliquée. J’ai eu un peu de mal à connecter le film aux non-lieux. La seule chose à laquelle j’ai pu penser est:

    A part le personnage principal (dont je ne me rappelle pas le nom) on ne voit aucun des employés vraiment en dehors de son poste de travail, juste un peu pour nous donner une idée de ce que sont leurs problèmes, pas pour mieux les connaître. Et on voit l'homme quia la responsabilité les faire démissionner en dehors du travail mais tout ce qu’il fait est connecté à son travail avec les photos des gens qu’ils renvoient.

    Le « placard », le bureau sans fenêtre ni ordinateur dans lequel la dame était enfermée pour son travail. C’est la photo aux visages découpés.

    Sinon je n'ai pas détesté le film, je l’ai trouvé assez intéressent. J’ai bien aimé la scène dans le café.

    Stephan Vaast

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  15. J’ai trouvé le film très intéressant parce que cet homme a été engagé pour forcer des employés à quitter la société. On voit qu’il se fait plaisir quand il les torture au point qu’ils ressentent le besoin de démissionner ou ont envie de le tuer. Cependant je me suis posé la même question pendant tout le film : Pourquoi aime-t-il son travail, c’est-à-dire harceler les gens moralement ou psychologiquement ? Peut-être s’est-il retrouvé très seul dans sa vie ? En fait, ce sentiment est clair quand on voit tous les cadres avec les cartes sur son mur. Sa vie se résume à ces cartes. Peut-être à cause de sa solitude, il trouve un lieu dans ces cartes et ces photos. Tous les lieux qu’il visite pour « licencier » les employés sont devenus ses non-lieux à lui. Alors, les non-lieux ne symbolisent rien pour lui, mais quand il retourne chez lui afin de poster les cartes, il trouve de la consolation parce qu’il est si seul. Avec toutes les cartes/photos et tous les visages qui le fixent, il se sent un peu moins seul. Enfin, il trouve une consolation dans ces cartes qui deviennent un lieu pour lui quand tous les lieux réels sont pour lui des non-lieux.

    Caitlin Condrey

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  16. Quand j'ai vu le film de gré ou de force automatiquement, on a tout de suite l’impression qu’il s’agit de personnes qui ont obtenu un nouvel emploi dans cette nouvelle industrie. J'ai rapidement compris que c'était le contraire et qu’ils essayaient de se débarrasser de ces gens. Le réalisateur du film n'a pas montré pourquoi ces 9 personnages ont été choisis pour cette expérience.

    D'autres choses que j'ai remarquées est que le bureau où ils travaillaient ressemblait plus à une cellule de prison parce qu'il n'y avait pas de fenêtres et l'espace était fermé, il semblait plutôt inconfortable. Comme Francesca l’a aussi mentionné les couleurs étaient très sombres. Une autre chose que j'ai remarquée est que chaque fois que quelqu'un s'est fait virer ou a quitté l'entreprise, il coupe leur tête dans l'image, je ne suis pas totalement sûr de ce qu'ils essayaient de symboliser. Dans l'ensemble je n'ai pas vraiment aimé le film.

    Mitchell Philogene

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  17. Le film "de gré ou de force" à mon avis était intéressant mais en même temps j’ai eu parfois des difficultés à comprendre ce qui se passait. L'homme Jalabier devait licencier les qui travaillaient pour lui. Je ne sais pas comment je me sentirais si je travaillais dans un emploi en sachant que je pourrais être licenciée prochainement. Les employés n'avaient pas non plus un environnement très agréable. Lorsque Jalabier a une conversation avec eux, il les réunit tous dans un sous-sol sans fenêtre. Et ces employés sont quand même tenus de travailler. Tous les murs de ce bureau sont blancs et on ne voit pas beaucoup de photos sur les murs. Une image très distincte dans le film était l'image qui avait tous les employés. Puis, quand ils étaient licenciés leur visage étaient découpés dans la photo. Cette photo a été un symbole de la façon dont n'importe qui pouvait être le prochain.
Pour être une personne dans la position de M. Jalabier vous devez ne pas avoir de compassion pour les gens. Il est toujours à la recherche d'une faute en eux pour avoir une raison de les éliminer. Je me souviens de la scène quand il est allé chez le médecin et comment sa peau était sous sa chemise. Elle était un peu inquiétante. Quelque chose doit lui arriver pour pouvoir ne montrer aucune émotion. Le fait que la photo sur son bureau soit une photo de lui quand il était enfant dit aussi quelque chose. Son personnage et ses motifs peuvent certainement être remis en question dans ce film.

    Brittany Hedger

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